Plus d’un an que le Bénin a démarré sa première campagne de vaccination anti-covid qu’il continue de faire face à la réticence de ses populations, comme la majorité d’autres pays d’Afrique ou d’ailleurs. Et pourtant, la vaccination n’est autre qu’une puissance préventive contre un mal. Aujourd’hui n’est-il pas nécessaire de reprendre le proverbe ‘’mieux vaut prévenir que guérir’’?

Il est du devoir de la science d’aider le monde à surmonter tout ennemi endémique. Mais quand vient pour cette dernière d’accomplir le devoir qui est le sien, revient la responsabilité des populations qui composent cet ensemble pour que soit assurée la quiétude. Un lien qui retrace vaille que vaille la mission de chacun pour le bien-être de tous ; tels les membres d’un corps, la défaillance de l’un affecte sans doute l’autre. De cette déduction, ne conviendrait-il pas d’affirmer que le monde ou le peuple béninois s’insurge contre lui-même ? En tous cas, la situation sanitaire que vit ce dernier depuis plus de deux ans déjà en dit long.

Face à la pandémie de coronavirus, les mesures restrictives étaient les premières adoptées par le monde. Mais comme à l’avènement de presque toute maladie, les scientifiques ont pu trouver une mesure préventive ; la vaccination anti-covid. Tel évoqué plus haut, il revient de la responsabilité et du bon vouloir des populations d’adopter cette mesure pour leur bien-être. Mais c’est avec une affliction, qu’on constate que les humains notamment Béninois, dérobent à cette obligation.

Du caractère virulent de la maladie

Le coronavirus est une épidémie très considérable qui atteint plusieurs personnes en fraction de seconde. De par ses symptômes, la covid-19 abime rapidement ceux qu’elle atteint. Depuis son avènement en 2019, le coronavirus a non seulement atteint les personnes mais également tous les secteurs d’activités. Mettant en berne le bon fonctionnement des entreprises, il imposa le confirment au monde.

Coup de sifflet pour les voyages, perturbations des marchés et suppressions d’emplois favorisant l’accroissement du taux de chômage. Et de cette longue liste, vient chapeauter le décès des milliers de personnes dans le monde. Tant de circonstances obligeant les personnes à changer, peut-être désagréablement leur quotidien avec des mesures sanitaires.

De la prévention du mal à la victoire

Avec la propagation rapide et l’augmentation du taux de décès en raison de la pandémie du coronavirus, les scientifiques ont réfléchi pour apporter un moyen préventif puissant qu’est la vaccination. Mais la peur et la réticence des populations réduisent l’administration de ces vaccins et par conséquent affaiblissent le combat engagé contre la maladie. Et pourtant, des organisations internationales et autres instances en charge de la santé humaine, ont bien approuvé par des études scientifiques, ces vaccins.

Alors que certains évoquent des rumeurs relatives aux effets secondaires des vaccins anti-covid-19, ils ignorent les multiples avantages qu’ils offrent. La vaccination en elle, réduit le risque d’infection par le virus responsable de la COVID-19, donnant ainsi un gage de protection à qui le reçoit. C’est bien le vaccin qui peut offrir une protection supérieure et plus durable à l’être tout en le protégeant contre les formes graves de la maladie et la mort, en aidant l’organisme à développer une immunité. Faut-il le rappeler, les pays dans lesquels le taux de vaccination est relativement élevé, celui de la propagation du virus a sensiblement chuté.

La vaccination comme moyen de retour à l’ordre naturel

La pandémie de coronavirus qui nous a éloignés de nos activités préférées, de nos proches, la vaccination se présente comme meilleure porte de retour à notre quotidien précédent. Avec les vaccins, une fin peut-être enfin sifflée pour certains gestes barrières. Les voyages, les retrouvailles sans risque majeur de contamination et donc le vivre en commun et le bien-être sont choses assurées.