Un éditorial de Romuald Boko

Dubaï, cette  ville des Émirats arabes unis connue  pour son shopping de luxe, son architecture ultramoderne et sa vie nocturne très animée et mouvementée avec de beaux bâtiments modernes qui  scintillent de lumières et brillent de mille feux. Une ville extraordinairement étonnante et dépaysante qui impressionne par ses gratte-ciels et complexes audacieux, par ses îles artificielles, par la multitude d’activités proposées. Une ville à destination atypique. Bien évidemment !

Atypique car Dubaï  offshorise le tourisme sexuel , avec des dizaines de milliers de prostituées, au-delà du réel et de l’entendement humain. Sodome et Gomorrhe en étaient bien loin. Et pourtant, l’Eternel fit pleuvoir du ciel sur ces villes du soufre et du feu les donnant comme exemple aux impies à venir.

Cependant le mal n’a pas cessé. Il persiste, se multiplie, se diversifie et se  répand  partout dans le monde sous plusieurs formes : Homosexualité, zoophilie, pédophilie, pédérastie, sodomie, échangisme, abasiophilie, éphébophilie, partouze,  asthénéophilie , clystérophilie, scatophilie … le recueil des gloses est très dégoûtant. Car, ce faisceau de maux  pousse très loin les limites de la morale vers une singulière perversion de l’ordre normal des choses.

Et, Dubaï révèle – il faut bien le savoir – les sulfureuses et étonnantes modes d’enrichissement des « influenceuses »africaines à travers ces pratiques extrêmement déviantes et dévalorisantes, impliquant une incroyable attirance pour les excréments, les matières fécales, les animaux etc…

Hélas! Le monde s’effondre. D’ailleurs Tout s’effondre, pourrait-on reprendre le célèbre écrivain Chinua Achebe. Et rien ne se fait pour arrêter cette catastrophe dans laquelle des « influenceuses » s’y plaisent au nom de l’argent, la racine des maux. On a beau maquiller la gangrène, mais elle puera toujours. Et c’est Dubaï la belle qui se révèle. Tristement.